Arno a abordé la musique très jeune, d’abord par le chant choral puis très vite au violon alto. Après un passage plutôt lisse et un peu ennuyeux à l’académie Gretry, c’est au conservatoire de Verviers puis à celui de Liège qu’Arno trouve l’utilité de la musique : jouer avec d’autres personnes qui partagent la même passion.

Ses débuts dans le monde folk/celtique se sont faits aux côtés de Mathieu dans Keltia, qui a donné naissance à La Horde. Mordu depuis tout petit de contes, de  légendes et de chevaliers qui se mettent sur la gueule, ce monde folk lui convient à merveille et il multiplie les projets qui touchent de près ou de loin à cet univers : La Horde, bien entendu, mais aussi Last Men Alive, Rastaban, en tant que membre permanent, puis de nombreux guests et side projects.

On pourrait dire qu’il est ce qu’était Ringo Star aux Beatles ou encore le Charlie Watts de la Horde… wai, le papy quoi ! Le plus sage pour autant ? Certainement pas !! Faut une bonne dose de décalage pour faire partie de ce groupe ma bonne dame et ça depuis plus de 12 ans maintenant…

C’est un parcours musical amateur qui jalonnera son expérience, de la Chorale les Colibris de Liège (où il rencontre Arno au siècle dernier) à la fanfare Vlakidrachko, il passera du chant au trombone avec quelques détours par la basse et l’accordéon diato.

Il avait comme vieux rêve d’un jour se mettre au trombone histoire de ne pas mourir idiot et de pouvoir sortir un peu des contraintes accordéonistiques. Il se lance en 2020, juste avant cette période covidée et bam, coup de foudre avec un tube en laiton de plus de 3 mètres. Il tente une section cuivre dans la Horde et la sauce prend. C’est maintenant avec son excellent camarade Félicien qu’ils cassent les oreilles de tout le monde mais il s’en fout, il est le plus vieux. Allez hop, c’est reparti pour un tour…

Morceau préféré : Sans conteste Haul Away ! C’est le dernier arrivé dans le set et quelle trouvaille !! Tout y est : les mélodies, les harmonies, le dansant, les voix, tout ce qui fait d’un morceaux que tu as envie de l’écouter au saut du lit et que tu sais que ta journée va être bonne !

Simon Gielen est un accordéoniste Belge qui débute au diatonique à l’age de 7 ans dans une petite école de musique privée à Lavoir-Héron (Près de Huy) avec Gwen Lejeune.

De 2010 à 2014, il fut membre du groupe Balbuzar. En 2014, il enregistre avec Vincent Sionneau (vielleux Français) le disque Duo Sionneau/Gielen « Vas-Y Gabin » et la même année, il enregistre avec le violoniste Luc Pilartz le disque Duo Pilartz/Gielen « UN ». En 2019, il enregistre un nouveau disque en compagnie de l’accordéoniste Allemand Johannes Uhlmann DiaTon « Strange Atmosphere ». Il fait partie également d’un trio Belgo/ Français qui s’appelle BéNéLo et d’un trio Anglo/Belge qui se nomme Firestarters of Leiden. Tous ces projets, sont des projets qui tournent sur des scènes de bal folk. Il a récemment pu découvrir le coté plutôt concert de la scène en remplaçant de temps en temps Didier Laloy dans le groupe Ialma. En 2021, il intègre la formation Folk/Rock Liégeoise
La Horde. Il commence aussi une collaboration avec la chanteuse trad Parisienne Marion Blanchard dont le duo se nomme Noiranomis et est recruté comme comédien et musicien pour la pièce de théâtre Saudade d’ici et là-bas mis en scène par Alexis Desseaux.

Encore un nouveau batteur dans La Horde, mais cette fois avec une caisse claire et un charleston ! Gauthier joue de la batterie depuis 15 ans, et si vous calculez bien, sa passion pour la musique est née en même temps que La Horde !

Pour lui, c’est une découverte de jouer avec la Horde sur de magnifiques scènes puisque c’est sa première vraie expérience musicale professionnelle, qu’il mène de main de maître.

Niveau visuel, il aurait pu avoir mieux car du fond de la scène, il a une vue directe sur les fessiers de Mathieu et d’Arno durant tous les concerts. Pensez donc à lui offrir une bière en backstage pour le consoler.

Félicien Schroeder débute la trompette très tôt, à l’âge de 8 ans, à l’académie Grétry dans la classe de Serge Lambert. Après des début déjà très prometteurs, il prendra ensuite des cours particuliers avec Germain Gamart. Il entre ainsi à l’age de 11 ans aux Cadets de Marine.

Il prend rapidement la décision de faire des études supérieures de musique et, un an avant de rentrer au Conservatoire, il rencontre Pierre Malempré avec qui il étudiera à l’académie de Saint-Nicolas. Il rentre au Conservatoire royal de Liège en septembre 2017 dans la classe de Rosario Macaluso avec qui il étudiera pendant quatre ans pour finir son Master avec Philippe Ranallo.

Félicien joue aussi dans le groupe Turlututrad, groupe de musique traditionnelle Bavaroise, avec les shorts et les bretelles, les choucroute-saucisses et les grosses bières. A vivre !